Non seulement, M. Darmanin sème les graines d’une nouvelle persécution puisqu’aucun chrétien authentique ne peut souscrire à l’idée qu’une loi humaine soit supérieure à la loi de Dieu…
… mais, en plus, en niant l’existence de normes morales supérieures à la loi votée par le législateur, il balaye l’existence même d’une loi naturelle qui permet de s’opposer à la volonté de ceux qui nous gouvernent.
Je vous donne un exemple : avec la loi promue par M. Darmanin, un prêtre pourra-t-il dénoncer l’immoralité de l’avortement ? Non, puisqu’il s’agit là d’une pratique autorisée par la loi !
Vous voyez, ce n’est pas pour rien que plusieurs évêques sont montés au créneau, notamment Mgr de Moulins Beaufort, président de la CEF (Conférence des Évêques de France), qui a dénoncé une loi «essentiellement répressive».
Mais Gérald Darmanin s’en moque ! Le 2 février, sur CNEWS, il a persisté : «Il faut que l’État s’impose et dise bien que la loi est au-dessus de la foi.»
- Ça suffit ! Dites au président de la République que la volonté du Créateur ne peut être ainsi méprisée !
À l’instar des Apôtres traduits devant les magistrats de leur temps, nous reconnaissons l’autorité publique mais nous préférons toujours la loi de Dieu avant celle des hommes !
Signez maintenant cet avertissement à Emmanuel Macron !