La guerre à l’Europe
publié dans flash infos le 22 décembre 2010
Sedcontra de cette semaine publie sous la plume de René Marchand ces très justes remarques sur l’Islam. Elles font trembler pour le proche avenir.
LesMusulmans font la guerre à l’Europe, en vue d’occuper son territoire et d’anéantir sa civilisation. Qui peut s’en étonner ? L’islam, c’est la guerre. La guerre dès les origines, génétiquement, par ses textes fondateurs les plus sacrés, et par l’exemple de celui qui est pour tous les Musulmans “le beau modèle”, comme le désigne le Coran. Il y a quatorze siècles, l’islam a déclaré aux autres civilisations une guerre universelle et perpétuelle. Les Musulmans qui conduisent la guerre contre nous aujourd’hui ne font que se conformer à leurs devoirs sacrés et à leur tradition. Ce sont des hommes pieux et légalistes, fiers de leur appartenance. Nous ne les convaincrons pas de changer. Eux au moins sont fidèles à leurs valeurs…
L’islam c’est la guerre, oui, et la première civilisation que les troupes de Mahomet ont attaquée, ce fut al-Rûm, les Romains, les Byzantins, les Grecs… nous, les Européens. Et, aujourd’hui, l’islam, qui récupère son identité, après les parenthèses de la colonisation et des nationalismes, qui l’avait anémié et malmené, se sent désormais en force pour reprendre la guerre contre l’Europe. Non pas tant, pour le moment, la guerre par le cimeterre, mais la guerre subversive, par le peuplement et par la ruse, le mensonge, l’achat d’alliés et de collaborateurs… selon des pratiques tacticiennes qui avaient déjà cours à Médine au VIIe siècle et qui sont parfaitement licites, même recommandables en islam, ce qu’on appelle, en bonne langue musulmane : la taqiyya.
Cette énième offensive de l’islam contre l’Europe est redoutable. D’abord, parce que nos gouvernants, nos élus, s’obstinent à la nier ; ainsi, ils ne peuvent pas voir qu’elle se déploie, avec rigueur, intelligence et constance, selon un plan, une stratégie, parfaitement adaptée au terrain, à la partie adverse, aux objectifs. Les résultats obtenus par l’islam en quelques années prouvent à l’évidence et la réalité et l’efficacité de cette stratégie, et d’abord les batailles que nous avons perdues sans même savoir qu’elles nous étaient livrées.
Je résume. La stratégie de l’islam contre l’Europe s’articule sur trois axes :
1. Faire venir en Europe le plus grand nombre possible de Musulmans ou de ressortissants du tiers-monde susceptibles de devenir musulmans. Bataille perdue par nous, chacun en conviendra. Inutile d’insister. Prenez le métro.
2. Réislamiser les Musulmans de culture : Considérez seulement le nombre de femmes qui, maintenant, dans nos rues, portent le voile, ce drapeau de l’islam ; les enfants de Maghrébins reçoivent tous un prénom musulman, qui leur interdit à jamais de sortir de l’islam, qui leur interdit la liberté de conscience ; le ramadan devient dans nos quartiers, dans nos entreprises, un moyen policier de contrôler les mauvais Croyants, comme dans tous les pays musulmans…
3. Habituer les Européens au fait musulman. Autrement dit: banaliser l’islam. Le présenter quasiment comme faisant partie de notre culture. Ou encore, comme une réalité contre laquelle nous ne pouvons rien. Mosquée, voile, viande hallal… Comme disent nos élus : “Ils sont là, il faut faire avec…” Quelle veulerie! Quelle trahison !
Vous avez compris que nous avons affaire à une conquête en peau de panthère, à petits pas, par petits espaces que l’envahisseur ne cessera d’agrandir. Une conquête profil bas, “mine de rien”, de Tartuffe. Une conquête qui porte sur nos mœurs, nos territoires, nos paysages, et enfin sur nos lois. Pour arriver à quoi ? A la reconnaissance d’abord par l’usage, par la coutume, de fait – toujours Tartufe –, puis par la loi, d’une communauté musulmane définie comme telle à l’intérieur de nos nations. Il s’agit ni plus ni moins de transformer nos sociétés, par glissements progressifs presque indétectables, en sociétés pluriculturelles, plurijuridiques, pluriconfessionnelles. Cela s’appelle la libanisation. Et la libanisation se traduit immanquablement par la guerre civile permanente.
Voulons-nous la libanisation pour nos pays ? La guerre civile pour nos enfants ? La charia et la dictature théocratique, le statut de dhimmis, de sous-hommes, d’Untermenschen comme tous les chrétiens et les juifs en terre d’islam, voulons-nous cette prison pour nos petits-enfants ? Non.
Et après la libanisation, tout schuss, ce sera l’islamisation totale, la substitution de la civilisation islamique à notre civilisation européenne, le génocide culturel comme partout où l’islam l’a emporté dans l’histoire. Cela par la taqiyya, mais aussi par la violence. En doutez-vous ? L’islam n’a jamais reculé devant la violence.
René Marchand
Sous le masque de la “religion”
L’islam est une religion, nous répète-t-on de partout. Et pour nous, Européens, cela veut dire : Attention ! vous entrez dans la sphère privée de chacun, la liberté de conscience. Interdiction de regarder de près. Interdiction de légiférer. Et même, pour certains, interdiction de critiquer ou de se moquer.
L’islam, une religion ? Oh certes, puisque, en islam, tout est religieux. Tout, du gouvernement des hommes jusqu’à la manière de s’habiller, tout est placé sous le signe d’Allah, régie par la Loi d’Allah. Sauf à réécrire le Coran et la vie du Prophète, un islam qui ne serait qu’une religion, qui ne serait pas politique, juridique, qui ne régenterait pas les mœurs, la vie privée des Musulmans, un tel islam n’existe pas, n’a jamais existé, ne peut pas exister. Dans le système Islam, il n’y a pas de place pour le profane, pas de sphère privée, pas de liberté individuelle, pas de liberté de religion, pas de liberté de conscience. Interdiction à un Musulman de quitter l’islam. Même interdiction pour l’enfant, mâle ou femelle, d’un Musulman. Interdiction pour une Musulmane d’épouser un non-Musulman, etc.
Et sous le nom de religion, on nous vend des mosquées, comme des sortes d’églises, des “salles de prière”, alors que les mosquées sont les centres de la vie politique, administrative, sociale, culturelle, scolaire, policière, judiciaire… des communautés. Il y a dans le monde musulman et dans nos diasporas des hommes qui, à chaque fois que nous ouvrons une mosquée, placent un petit drapeau vert sur une carte, marquant un nouveau bastion avancé de leur armée d’occupation. Le nom de certaines mosquées est une incitation à la guerre. Allons-nous nous faire encore longtemps nous faire complices de cette… invasion ?
Et sous le nom de religion, on nous a vendu le Conseil prétendument français (que ne dit-on pas Conseil algéro-marocain-saoudien, etc.) du Culte musulman, alors que le mot “culte” ne veut rien dire, dans un système où tout est religieux. Tout ressortit au culte, jusqu’aux costumes de bain, n’est-ce pas ? Sous le masque du mot religion, on a installé chez nous le Conseil international pour la charia en France.
Le mot Religion est le cheval de Troie d’un totalitarisme. Comment mieux, en effet, définir l’islam qu’en disant que c’est un totalitarisme. Avec le totalitarisme musulman comme avec n’importe quel autre, un Français, un Européen ne peut transiger. Pas “d’arrangements raisonnables”. Nos parents auraient-ils dû passer des arrangements raisonnables avec les totalitarismes noir et rouge du siècle dernier ?
Je le dis avec gravité : débusquons au plus vite l’islam derrière le mot de “religion”, qui le masque et le protège. Si nous ne réagissons pas avec fermeté pour désamorcer ce piège, nous courons à notre suicide. Au nom de nos principes de liberté, qu’il refuse et condamne, qu’il méprise, nous laisserons à l’islam le champ libre pour imposer son despotisme, son totalitarisme.
René Marchand