« Haro sur Trump »
publié dans regards sur le monde le 3 février 2017
Haro sur le Trump : ce qu’il faut croire ou non…
Le nouveau président des USA vient de décider de fermer provisoirement les frontières de son pays aux ressortissants d’un certain nombre de pays musulmans.
Le nouveau président des USA vient de décider de fermer provisoirement les frontières de son pays aux ressortissants d’un certain nombre de pays musulmans. Aussitôt, on assiste à une immense levée de boucliers, une indignation plus ou moins mondiale, largement répercutée par la plupart de nos médias, lesquels essaient de nous faire croire que le peuple américain dans ses profondeurs serait scandalisé par cette odieuse décision ! En réalité, il n’en est rien du tout et voici ce que ces informateurs malintentionnés et de parti-pris omettent soigneusement de nous dire.
1) Donald Trump ne fait là qu’appliquer les engagements qu’il avait pris pendant sa campagne devant les électeurs américains. S’il ne l’avait pas fait, ceux-ci eussent été en droit de lui reprocher d’être lui aussi, comme les autres, un politicien sans scrupules, un homme sans foi ni loi, lequel, une fois élu, s’empresse bien vite d’oublier les promesses prodiguées aux citoyens dans le but de capter habilement leurs suffrages.
Ne pas agir comme il le fait eût donc été, n’en déplaise aux braillards, trahir tous ceux qui l’ont élu.
2) Un homme d’état responsable, avant tout soucieux de la sauvegarde de la population dont il a la charge, se doit de prendre toutes les mesures propres à épargner à celle-ci tout ce qui est susceptible de lui nuire ou de lui causer des dommages. Ainsi, un homme d’État responsable se doit de veiller à l’étanchéité des frontières face aux intrusions d’immigrants non désirés, quand il estime que ceux-ci peuvent porter préjudice à l’économie en faisant croître le chômage des autochtones ou à la sécurité publique en étant des facteurs de délinquance ou, pire, en apparaissant comme de potentiels agents du terrorisme.
En fait, ce que l’on pourrait à mon avis reprocher à bon droit au Président Trump, c’est tout au plus de ne pas avoir aussi placé sur sa liste noire de proscrits deux des pays musulmans où l’on cultive l’islam le plus intolérant et le plus rétrograde qui soit : l’Arabie Saoudite et le Pakistan. Aurait-il donc oublié que c’est d’Arabie que provenait la plupart des terroristes du 11 septembre ?
Je ne crois pas que, lors des attentats qui, jour après jour, ensanglantent divers coins de la planète, le sinistre cri de guerre que font retentir les assassins soit « Boudha ouakbar ! » ou « Jésus ouakbar ! ». Le Japon, pays où l’islam est presque inexistant (d’après Wikipédia, environ 63.000 pratiquants et seulement une trentaine de mosquées pour 126 millions de Japonais !), est non seulement un pays sans immigration, sans burqa, sans nourriture halal et, surtout, sans attentats islamistes mais aussi un pays où les chiffres de la délinquance et de la criminalité sont les plus bas du monde !
Alors, plutôt que de faire le procès de Trump, nous serions plus avisés de faire celui de nos propres dirigeants, lesquels, depuis 30 ans, malgré les mises en garde judicieuses d’un Georges Marchais ou d’un Jean-Marie Le Pen, se sont obstinés à faire entrer et laisser s’installer sur notre sol des millions d’immigrés musulmans, lesquels colonisent aujourd’hui certains quartiers de nos villes et beaucoup de nos banlieues dans lesquels ils font régner la loi impitoyable des dealers et des imams.